Articles publiés dans la catégorie “Communiqués”

Comment réussir le déploiement de son CRM auprès des commerciaux

vendredi, 13 novembre, 2009

yeux20Selon Gartner Group, plus de 50 % des implémentations de CRM réalisées jusqu’en 2006 sont considérées comme des échecs par l’entreprise concernée. Ce livre blanc explique les raisons de ces échecs, issu essentiellement d’un quiproquo. Pour garantir sa réussite auprès des commerciaux, le déploiement d’une solution de gestion de la relation client est un exercice qui doit reposer sur une méthodologie structurée.

Les attentes de la Direction

Comme lors de tout déploiement technologique, il faut obtenir le cautionnement de la direction. C’est d’autant plus vital que le CRM porte sur les domaines de plusieurs services. «Cette évolution ne se fait pas naturellement. L’entreprise sait qu’elle doit en passer par-là, mais quelqu’un ayant une autorité supérieure doit faire concrétiser l’idée». Les grands enjeux des Directions portent sur les points suivants :

1 Protéger le patrimoine de l’entreprise.

Dans les phases de forte mutation, les entreprises font face à un turn over important de leur collaborateur. Il est vital de conserver le savoir de l’entreprise en centralisant les fichiers prospects et clients de l’entreprise afin d’assurer la continuité du service sans perte d’activité.

2 Dynamiser la démarche commerciale.

Un des freins à l’adoption du CRM provient de son aspect réactif. Les Directions se plaignent d’un manque de productivité de leurs forces commerciales et attendent un meilleur contrôle de leur activité. Si le CRM est perçu comme un outil de «  flicage », les commerciaux mettront en œuvre des processus de contournement qui conduisent à son échec. La réussite du projet passe par une perception positive de la démarche commerciale en leur fournissant un véritable outil de pilotage de leurs projets et plan d’actions qui leur permettent de conduire leur destin. Cette démarche passe impérativement en amont par le transfert d’une méthodologie de vente.

3 Améliorer la qualité de prévision des ventes

La prédictibilité est devenue un facteur clé des entreprises face à leurs partenaires financiers. La direction doit pour se faire disposer d’un tableau de bord consistant de son activité.

4 Dynamiser la promotion des ventes

Face à un marché toujours plus concurrentiel, les services Marketing doivent cibler leurs messages au travers de campagnes spécifiques. L’outil constitue alors le relais auprès des forces commerciales.

5 Améliorer sa crédibilité auprès des partenaires

L’activité commerciale se conduit bien souvent dans le cadre d’un écosystème. Les entreprises doivent être en mesure de produire un bilan d’activité à leurs partenaires sur les leads qui leur ont été confiés.

Les clients satisfaits après avoir déployé un logiciel de CRM, reconnaissent que celui-ci a eu un impact sur trois fronts au sein de l’entreprise: culture, procédure et technique. Ce qui montre qu’il est crucial de s’attacher le soutien de tous les salariés, de procéder aux changements de façon progressive, et d’anticiper l’impact technologique sur le réseau dans son intégralité.

Les freins du déploiement du CRM par les commerciaux

On ne peut mettre en œuvre correctement un outil de CRM sans comprendre le processus de fonctionnement des commerciaux. Nous déclinons ci-dessous les attentes selon la pyramide de Maslow.

1 Besoin de sécurité.

Le préliminaire du commercial est d’assurer sa survie et d’imaginer une vie au-delà de son entreprise. La recherche d’autonomie le conduit à penser qu’il est propriétaire des informations qu’il détient et de favoriser un fonctionnement autarcique. Si la solution mise en place a pour objet de pérenniser les informations pour les intérêts de l’entreprise, elle doit garantir la conservation de l’information sur un plan personnel. Le CRM  doit offrir l’assurance de transférer les informations localement par export excel. Enfin, on ne surchargera pas l´application, par exemple, en évitant de multiplier les champs que l´utilisateur devra renseigner.

2 Besoin d’appartenance.

L’échec de l’acceptation du CRM par les commerciaux provient d’une démarche maître esclave. Il leur est demandé d’alimenter une base de donnée au travers d’un processus mécanique qui fait obstacle à son intelligence.

L’homme est réduit à une dimension de robot et à l’isolement par une saisie déstructurée de l’information. Il faut comprendre que la finalité de l’approche ne répond pas à une saisie mécanique des informations. L’outil n’est qu’un support à la maîtrise systémique de son processus de vente. La priorité doit être donnée à la mise en œuvre d’une méthodologie de vente qui sera partagée par l’ensemble de l’équipe. Cette pratique est fondatrice des processus d’intégration dans le cadre de fusion/acquisition. L’outil n’est alors que le support qui sous-tend la méthode et lui donne de l’intelligence. Le commercial utilise alors l’outil comme un pilote devant son cockpit.

3 Besoin de reconnaissance des autres.

La qualité de la tenue du CRM dépend aussi du management. L’échec provient bien souvent que l’outil est délégué aux commerciaux avec une forte distanciation du management. L’outil doit constitué non pas un outil de jugement (« tu n’as pas rempli… »), mais un outil de dialogue commun. Le Manager utilisera l’outil comme support de coaching de chacun de ses commerciaux autour de tableaux de bord appropriés. Ce processus conduit naturellement à améliorer la qualité de l’information.

4 Besoin d’estime de soi.

L’ancien modèle de reconnaissance partait d’un processus intuitif («c’est mon charisme qui fait vendre »). Le processus de vente structurée offre davantage de signes de reconnaissance « Je suis reconnu comme un bon commercial, car je suis un expert et je maîtrise l’ensemble de mon processus de vente ».

5 Besoin d’accomplissement personnel.

La finalité de la vente est de réussir ses objectifs. Un des écueils de l’échecs de la mise en place du CRM vient du décalage de l’évaluation, tendance a apprécier le commercial qui « met correctement l’outil à jour » au détriment des résultats. Ces deux aspects ne sont pas contradictoires si l’entreprise veille à fournir les bons outils de pilotage qui permettront aux meilleurs commerciaux de mieux piloter leur activité et d’améliorer encore leur productivité. C’est l’outil qui doit se rendre au service de l’homme et non l’inverse.

Comment déployer son CRM avec succès auprès des commerciaux

Dans le cadre des processus retenus dans la mise en œuvre du CRM, Il s’agit bien d’engager les équipes de vente sur le chemin du changement en s’appuyant sur un savoir-faire :

1 Maintenir l’homme au cœur du processus.

La réussite du programme passe impérativement par le transfert d’une méthodologie de vente qui sous tend le processus. Cette phase conduit vers le partage d’une culture commune, d’un langage commun d’une reconnaissance du groupe et la valorisation de l’individu. Cette phase conduit implicitement à l’acceptation des outils qui sont retenu. Ils n’en sont plus la finalité mais le moyen.

2 Disposer des tableaux de bord adéquat

L’entreprise doit disposer des indicateurs d’entreprise, de groupe et de l’individu. Ces indicateurs resteront en cohérence avec la méthodologie mise en œuvre. Nul n’est besoin de disposer de nombreux indicateurs, mais leur pertinence conduit à une haute responsabilisation des individus.

3 Coaching des managers.

C’est la méthodologie de vente et non le CRM qui fournit le dialogue entre le manager et son commercial. Le processus de coaching des équipes de management doit être assimilé pour obtenir une efficacité optimum.

4 Rechercher les leaders.

L’adhésion de l’outil s’appuie grandement sur l’adhésion des leaders. Un programme d’accompagnement des éléments identifiés contribue à la réussite du projet.

La politique de formation mise en place dans la foulée devra perdurer afin de ne pas exclure les nouveaux venus.

Comment nous pouvons vous aider

Le fondateur de l’ITEV a développé le premier outil de Gestion de la Relation Client chez Enertec-Schlumberger en 1982. IL a ensuite participé au déploiement du CRM dans de grandes entreprises, tel Siebel chez EMC, PIVOTAL chez Crystal Decisions, Salesforce.com chez Stratus, Microsoft CRM chez BSD. L’ITEV propose depuis 2005 une méthodologie de vente éprouvée qu’elle met à disposition des entreprises. L’ITEV accompagne les entreprises dans leur processus de changement dans les phases de votre projet :

1 Préparer le programme

  • En analysant l’existant et en adaptant les méthodologies disponibles aux besoins de l’entreprise
  • En optimisant les tableaux de bord commercial avec l’équipe de direction


2 Transférer les compétences

L’ITEV vous propose la mise en place d’une méthodologie structurée pour mieux maîtriser son cycle de vente. L’outil  va permettre de gérer ses processus.

3 Accompagner la conduite du changement

Pour s’assurer l’adhésion des équipes et préparer les adaptations de l’outil, L’ITEV accompagne les managers et les groupes dans l’acceptation des nouveaux processus

L’implication des décideurs et des acteurs constitue la clé du succès pour réussir la mise en œuvre de votre CRM. L’objectif que nous vous proposons contribue à
– Créer rapidement la cohésion des acteurs
– Accélérer la diffusion des informations utiles aux équipes,
– Développer une dynamique partagée et durable.

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

7 règles d’or pour fidéliser ses clients

vendredi, 13 novembre, 2009

On dit que cela coûte 7 fois moins cher de garder un client que d’en acquérir un nouveau.
Mais comment faire ? Les commerciaux ont tendance à penser que le client est acquis dès la première vente et que tout est accompli pour renouveler ses besoins. Comment obtenir des ventes récurrentes sur vos bases installées ?

Voici quelques idées pour fidéliser vos clients.

Distinguer « Nouveau Client » et « Client Acquis ».

Une enquête réalisée auprès des utilisateurs montre que 46% des clients quittent leur fournisseur après la 1ere commande, 24% après la seconde, 14% après la 3eme et 12% après la 4eme. Un client est acquis non pas à la première commande mais après la 3eme commande. Un effort important doit être maintenu pour y parvenir.

Se concentrer sur la réactivité.

Les clients attendent une réponse immédiate. Si vous voulez conserver vos clients, fixer vous des normes de temps de réponse et respectez les.

Respecter ses engagements.

Rien ne refoule plus un client que le non respect de ses engagements. Si vous pensez que vous ne serez pas en mesure d’honorer vos promesses, dites le lui avant qu’il ne le découvre. « Dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit ». Mesurez régulièrement le respect de vos engagements au travers des enquêtes de satisfaction.

Aimer ses clients.

Un client est acquis non pas lorsque vous avez répondu à son besoin mais dès lors que vous avez crée une relation de confiance. Planifiez des visites régulières pour entretenir ses relations. Investiguez leurs préoccupations personnelles et les enjeux de leur service. Appelez les par leur prénom dès que vous le pouvez ; ils veulent faire des affaires avec des hommes, pas avec des entreprises.

Créer un esprit de service.

Déjà en 1986, dans leur livre Service compris, Philippe Bloch et Ralph Hababou donnaient l’alerte : « Les clients heureux font les entreprises gagnantes… » Onze ans plus tard, l’ouvrage n’a pas pris une ride. En revanche, ce qui a changé, c’est la perception du concept de service au profit de « Capital-client. » Le ton est donné : le client est une valeur. Comment l’attirer, le séduire et le fidéliser ? Le respect des engagements n’est pas seulement l’apanage du commercial. C’est toute l’entreprise qui doit se mettre au diapason du client : répondre avant 3 sonneries, être aimable, donner la bonne information ou rappeler dans un délai défini. Conserver ses clients est l’affaire de chacun (Accueil, devis, livraison, SAV…).

Honorez vos clients.

Invitez quelques clients à partager des moments de convivialités avec des prospects par exemple autour d’une opération Beaujolais, ou d’un week end à Marrakech. Vos clients seront vos meilleurs ambassadeurs. Faites vivre votre club utilisateurs et partagez les expériences de vos clients.

Créer une communication personnalisée.

Devenir intimes avec ses clients, créer des communautés de consommateurs pour en faire les avocats de votre entreprise, voila bien l’enjeu qui passe par la maîtrise de votre base de données, et une communication régulière avec vos clients soit au travers du web ou d’une lettre régulière.

Vous souhaitez monter un programme pour développer vos ventes sur votre base installée ? Alors contactez moi…

Bonnes Ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

La hiérarchie des besoins de Maslow appliquée à la vente

vendredi, 13 novembre, 2009

Abraham H. MASLOW, grand spécialiste du comportement a hiérarchisé les besoins humains afin de définir les moteurs de nos motivations. Nous allons étudier comment l’évolution rapide de nos sociétés déplace progressivement le centre de motivation des décideurs, et comment appliquer ces théories à la vente.



Les besoins fondamentaux

Cette catégorie répond aux besoins immédiats  (Nourriture, chaud, froid, sommeil). Elle est très présente dans les situation de crise (cataclysme, guerre, crise économique, famine). Nos sociétés occidentales sont sorties depuis la seconde guerre mondiale de ces préoccupations. La qualité et le prix sont les éléments déterminants de la décision.

Besoin de sécurité.

Les sociétés occidentales privilégient le gain immédiat à une vision long terme. Les entreprises sont désormais sollicitées à de rapides  changements générateurs de stress. Les cadres sont plus inquiets de la sécurité de leur poste. Les managers sont contraint de participer au changement de leur environnement sous peine de disparition. L’acte d’achat pour faire évoluer une organisation est désormais inscrit dans une dynamique de conservation. La fiabilité est un paramètre essentiel dans la déciison.

Besoin d’appartenance

Les besoins primaires étant désormais satisfaits, les cadres recherchent la reconnaissance de leur environnement. Les grandes entreprises des années 90 dirigées par de grands leaders  s’appuyaient sur des signes de reconnaissances fortes, inscrites dans la continuité. Les organisations du 21eme siècle sont plus éphémères, aussi les décideurs d’aujourd’hui sont-ils plus sensibles au rayonnement extérieur à l’entreprise (testimonial, success story, rédactionnel, remise de prix dans un club d’utilisateurs). Ce sont désormais de puissants moteurs à faire valoir pour impliquer le décideur dans son choix. Quels sont vont référents dans des applications similaires auxquels votre clients pourra se comparer ?

Estime de soi

Le niveau de rémunération évolue peu depuis une décennie. Le revenu ne constitue plus un moteur de choix dans ses décisions. Par contre, la satisfaction d’être le moteur du progrès ou d’un changement majeur apporte à l’individu une satisfaction personnelle et la reconnaissance de ses pairs. Construire une œuvre, c’est acquérir de la compétence, c’est être reconnu pour ses mérites, c’est laisser une trace à la postérité. C’est un moteur fort pour impliquer les décideurs dans le processus de prise de décision. Comment votre produit peut concourir votre client à se différentier ?

Réalisation de soi

Le cadre du 21eme siècle qui réussit est un visionnaire. C’est un créateur qui sort des chemins battus. Par ses qualités naturelles de leadership,  il projette à son entourage de nouvelles voies d’amélioration du potentiel de ses équipes et de l’entreprise.

Détecter ces visionnaires ; ils seront pour vous de puissants moteurs pour vous aider à valoriser vos concepts novateurs dans les grandes entreprises. Quelle la proposition Unique de votre offre qui apporte de la valeur ?

Maslow nous rappelle que

  • Lorsqu’on s’approche de la satiété d’un besoin, la capacité de satisfaction de son pouvoir moteur diminue. Il faut alors rechercher la satisfaction de la couche supérieure.
  • L’incapacité d’un fournisseur à répondre à la couche adéquate crée une insatisfaction et agit comme un facteur de démobilisation par rapport à la proposition. Donc, pas de vente possible tant que le moteur de son prospect n’a pas été compris !

Et si nous travaillions ensemble sur la mise en application de ces concepts avec vos commerciaux ?

Bonnes Ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

Plan d’Actions Commerciales

vendredi, 13 novembre, 2009

Le plan d’actions commerciales doit comprendre à la fois un développement de sa base et une extension soit dans le compte, soit en prospection.

Le plan d’actions commerciales doit comprendre à la fois un développement de sa base et une extension soit dans le compte, soit en prospection. Voici 2 stratégies à prévoir  dans votre plan d’actions commercial.

Elles vous permettront de capter des projets à haut niveau de marge et des extensions sur les clients existants. Ces stratégies sont déclinées par des tactiques d’approches (en italique dans le texte).

1.      Créer un programme de fidélisation de mes clients

  • Contacter chacun de mes clients existants au moins une fois par mois avec une nouvelle idée.
  • Créer un bulletin mensuel remarquable.
  • Créer un groupe d’utilisateurs de référence.
  • Créer des conférences (sur le web par exemple) pour mes clients existants.
  • Organiser un déjeuner mensuel avec  trois clients existants et inviter un prospect.

2. Prospecter dans ma base de clients.¶

  • Contacter au minimum 3 nouveaux contacts ou départements  chez chacun de mes clients existants.
  • Demander à chacun de mes clients existants de me recommander à une autre personne de son organisation, ou d’une autre organisation.¶
  • Rencontrer personnellement le cadre supérieur de chacune des organisations clientes.¶

Le Temps Présent est votre bien le plus précieux¶

Le plan d’actions doit détailler les étapes de chacune des tactiques.

Une planification du plan d’actions sur plusieurs semaines constitue un bon outil de coaching.

Une fois ce plan réalisé, ne le mettre surtout pas de coté, mais l’utiliser comme plan de route au quotidien.

Le succès réside dans sa capacité à dérouler le programme avec rigueur !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

Commandez le Guide complet et recevez votre ebook maintenant.

Oui, je commande pour 23,00 € le livre « Le code de la Vente Stratégique« .

Donnez-moi accès gratuitement au livre au format « .pdf » d’une valeur de 9,95 € euros à télécharger sur mon pc !

Comment calculer son ratio de prospection

vendredi, 13 novembre, 2009

Suivez le scénario suivant pour vous assurer que tout est sous contrôle

Etape 1 : Analysez l’historique

Suivez le scénario suivant pour vous assurer que la situation est sous contrôle.

Etudiez vos ventes sur la dernière année, et répondez à ces questions :

Quand vous contactez 100 suspects (appels téléphoniques, mailing, conférences),

1. Combien de prospects avez-vous identifié ?_________
2. Combien d’opportunités avez-vous identifié chez ces prospects ?_________

3. Combien de ces opportunités ont été transformé en projets ? ___________
4. Combien de ces projets se sont transformés en commandes ?____________

5. Quelle a été la valeur moyenne d’une nouvelle commande _________

Etape 2 : Calcul du ratio de converion

6. Diviser le résultat de la ligne 4 par 100. Votre ratio de conversion est _________%

Etape 3 : Analyse de l’objectif

7. Objectif annuel en € (se fixer un dépassement de 25% du quota) _________
8. Montant du backlog et des perspectives des clients déjà acquis _________
9. Objectif «  Nouvelles Ventes» à réaliser (point 7 moins point 8)  _________
10. Nombre de Nouvelles Ventes requises (point 8/Point 5) _________

Etape 4 : Conclusion

11. Diviser le nombre de nouvelles ventes requises par le point 6  _________

Et voila le nombre de suspects qu’il vous faudra contacter  cette année!

Divisez ce nombre par 46 (nombre de semaines opérationnelles), et vous pourrez ainsi programmer votre plan de prospection hebdomadaire.

Votre taux de visite est inférieur ?

Alors construisons un plan de développement ensemble pour y remédier.

Nous conviendrons des définitions suivantes

Suspect : contact identifié mais non qualifié

Prospect : Contact répondant à vos critères de qualification

Client : contact ayant un lien commercial avec votre entreprise

Opportunité : Besoin implicite identifié par vos soins chez un client

Projet : Besoin explicite, reconnu par le client ( budget, échéance, décisionnaire…)

Nouvelle Vente : Vente réalisée chez un nouveau client ou un nouveau département client.

Commande : Fourniture de produits ou services dont le revenu est reconnu selon les standards de l’entreprise.

Bonnes ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

Commandez le Guide complet et recevez votre ebook maintenant.

Oui, je commande pour 23,00 € le livre « Le code de la Vente Stratégique« .

Donnez-moi accès gratuitement au livre au format « .pdf » d’une valeur de 9,95 € euros à télécharger sur mon pc !

Bien gérer son entretien de prospection

vendredi, 13 novembre, 2009

Et si nous profitions des enseignements de Roland Garros pour mieux maîtriser notre entretien de prospection ?




1. Le champion utilise la force de son environnement

Imaginez le champion qui rentre sur le central. Il utilise la passion du public pour se transcender. La ferveur de l’environnement .Créer  un rapport de construction positive qui prépare au succès.

Ainsi, quand vous entrez dans le bureau du client, vous entrez sur votre terrain. Les objets qui vous entourent vous parlent. Un poster de Bryce canyon, une balle de golf sur le bureau, un trophée d’une victoire…

Autant de signes pour créer un environnement positif avec votre interlocuteur. Trois opportunités d’établir un rapport, de partager un plaisir en commun, de casser la glace et de  créer un rapport basé sur la confiance.

2. Le champion observe son partenaire.

Le champion observe avec attention le comportement de son partenaire, pour mieux se mettre en position miroir. Il avance s’il le voit reculer un peu, il recule s’il le voit rentrer dans le carré de service.

Au cours de la réunion, votre interlocuteur vous livre les mêmes signes, en se penchant en avant, en inclinant la tête avec l’intérêt, ou en s’asseyant en arrière avec des bras pliés et inclinés d’un côté, soulignant alors  un manque d’accord, l’ennui, le désintérêt ou l’incrédulité. Prenez en compte les informations qu’il vous transmet pour entrer en harmonie avec lui.

3. Le champion construit son point.

La terre battue exige patience et humilité. Ce n’est pas le terrain d’excellence du service volée. Le champion construit patiemment son jeu afin de prendre un avantage décisif.

Ainsi, un premier entretien de prospection n’est pas l’objet d’un monologue, mais un échange, une opportunité de découvrir les besoins de votre prospect et puis enfin de lui  proposer des solutions.

Si vous parlez plus longtemps que votre interlocuteur, c’est que vous êtes probablement hors des préoccupations de votre interlocuteur. Il est important de seulement poser de bonnes questions et d’écouter soigneusement les réponses car elles doivent fournir des informations nécessaires et indispensables pour construire votre argumentaire. Une des questions les plus importantes et souvent négligée est  « Qui est la personne qui prendra la décision finale? ».

4. Le champion s’appuie sur ses forces.

Le champion saisit toujours l’avantage sur son point fort (volée, passing, coup droit croisé de fond de court…). Il pratique régulièrement pour acquérir des modèles de réponse à des situations en travaillant davantage encore ses points forts.

Les « succès stories » de votre entreprise constituent autant de points forts qui vous préparent à la mise en situation. Vous devez disposer d’au moins une demi-douzaine d’études de cas démontrant la palette de vos possibilités, et être préparé pour en discuter lors de cet échange. Les études de cas sont inestimables pour contrer les concurrents qui offrent des services identiques. Ne jamais critiquer directement un concurrent, mais démontrer vos antécédents à travers une histoire qui démontre vos avantages, et la satisfaction des clients qui ont apprécié de travailler avec vous.

5. Le champion fait le bon choix.

Le champion sait reconnaître les vrais signaux d’opportunités et attendre le bon moment.

De même, vous attendrez patiemment d’avoir identifier la véritable motivation de votre interlocuteur avant de chercher à argumenter. Votre objectif n’est pas de démontrer tous vos atouts, mais uniquement celui qui répond à l’attente du client.

6. Le champion reste concentré sur l’ici et maintenant.

Le champion ne vit pas dans la perspective de la victoire finale, mais dans le geste juste de l’instant. Il sait effacer l’échec passé pour se concentrer sur la trajectoire immédiate. Mais il sait aussi franchir le dernier point, celle qu’il donnera le succès final.

La raison principale de nos échecs provient d’une volonté à anticiper le succès final et de brûler certaines étapes.

Si chacune des phases de l’entretien a été bien conduit, alors la phase de conclusion s’enchaîne avec harmonie :

« Quand pouvons nous passer à la prochaine étape ? »

Bonnes ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

Combien faut il vendre en plus en plus pour compenser une remise

vendredi, 13 novembre, 2009

Combien de pourcent faut-il vendre en plus si vous ne voulez pas gagner moins ?

Le tableau suivant vous aidera à faire comprendre à vos commerciaux l’impact de la remise sur leur chiffre d’affaire. Ceux qui octroient trop rapidement une remise devraient l’étudier attentivement.

Votre Marge Brute est de

Remise

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

45%

50%

1%

25,0%

11,1%

7,1%

5,3%

4,2%

3,4%

2,9%

2,6%

2,3%

2,0%

2%

66,7%

25,0%

15,4%

11,1%

8,7%

7,1%

6,1%

5,3%

4,7%

4,2%

3%

150,0%

42,9%

25,0%

17,6%

13,6%

11,1%

9,4%

8,1%

7,1%

6,4%

4%

400,0%

66,7%

36,4%

25,0%

19,0%

15,4%

12,9%

11,1%

9,8%

8,7%

5%


100,0%

50,0%

33,3%

25,0%

20,0%

16,7%

14,3%

12,5%

11,1%

6%


150,0%

66,7%

42,9%

31,6%

25,0%

20,7%

17,6%

15,4%

13,6%

7%


233,3%

87,5%

53,8%

38,9%

30,4%

25,0%

21,2%

18,4%

16,3%

8%


400,0%

114,3%

66,7%

47,1%

36,4%

29,6%

25,0%

21,6%

19,0%

9%


900,0%

150,0%

81,8%

56,3%

42,9%

34,6%

29,0%

25,0%

22,0%

10%



200,0%

100,0%

66,7%

50,0%

40,0%

33,3%

28,6%

25,0%

11%



275,0%

122,2%

78,6%

57,9%

45,8%

37,9%

32,4%

28,2%

12%



400,0%

150,0%

92,3%

66,7%

52,2%

42,9%

36,4%

31,6%

13%



650,0%

185,7%

108,3%

76,5%

59,1%

48,1%

40,6%

35,1%

14%



1400,0%

233,3%

127,3%

87,5%

66,7%

53,8%

45,2%

38,9%

15%




300,0%

150,0%

100,0%

75,0%

60,0%

50,0%

42,9%

16%




400,0%

177,8%

114,3%

84,2%

66,7%

55,2%

47,1%

17%




566,7%

212,5%

130,8%

94,4%

73,9%

60,7%

51,5%

18%




900,0%

257,1%

150,0%

105,9%

81,8%

66,7%

56,3%

19%




1900,0%

316,7%

172,7%

118,8%

90,5%

73,1%

61,3%

20%





400,0%

200,0%

133,3%

100,0%

80,0%

66,7%

21%





525,0%

233,3%

150,0%

110,5%

87,5%

72,4%

22%





733,3%

275,0%

169,2%

122,2%

95,7%

78,6%

23%





1150,0%

328,6%

191,7%

135,3%

104,5%

85,2%

24%





2400,0%

400,0%

218,2%

150,0%

114,3%

92,3%

25%






500,0%

250,0%

166,7%

125,0%

100,0%

26%






650,0%

288,9%

185,7%

136,8%

108,3%

27%






900,0%

337,5%

207,7%

150,0%

117,4%

28%






1400,0%

400,0%

233,3%

164,7%

127,3%

29%






2900,0%

483,3%

263,6%

181,3%

138,1%

30%







600,0%

300,0%

200,0%

150,0%

Exemple : Votre marge brute après remise moyenne est de 15%.

Vous consentez une remise supplémentaire de 10%.

Pour gagner autant qu’avant, vous devrez augmenter vos ventes… de 200% !!!

Si votre marge brute (avant remise) est de 30%, vaut-il mieux vendre 1 million d’euros avec 15% de remise ou 3 million d’euros avec 25% de remise pour réaliser le même profit ?

Bien souvent, dans l’esprit du commercial, 10% de remise ne représente qu’une perte de 10% de chiffre d’affaire.

Bonnes Ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

Commandez le Guide complet et recevez votre ebook maintenant.

Oui, je commande pour 23,00 € le livre « Le code de la Vente Stratégique« .

Donnez-moi accès gratuitement au livre au format « .pdf » d’une valeur de 9,95 € euros à télécharger sur mon pc !

5 clés pour surmonter le «NON» du client

vendredi, 13 novembre, 2009

Celui qui n’a jamais surmonté le « NON » n’a jamais vendu !

Le non du client est une porte encore ouverte. Voici quelques clés pour garder le lien.

1 Utiliser l’humour.

C’est une  tactique pour désamorcer la tension déclenchée par un non et déplacer la conversation vers l’étape suivante.

Par exemple, répondre « Merci pour ce Non. C’est ce que j’entends toujours avant qu’on me dise Oui »…. Ou bien « C’est votre dernier mot ? ».

2-Poser toujours et encore des questions.

Demander toujours pourquoi encore et encore, jusqu’à en découvrir le sens caché.

Pourquoi avez vous besoin de mettre ce service en place ?…

Poser assez de questions pour que votre prospect puisse constater que vous voulez l’aider.

3-Énumérer toutes les incidences des bénéfices que vous offrez.

Si vous n’avez rien à mettre dans la liste, alors vous ne méritez pas cette vente. Pour faire n’importe quelle affaire, vous devez offrir plus de valeur que ce que vous vendez.

4-Demander à son prospect de n’acceptez un « NON» qu’après avoir écouté deux appels clients.

Vous ne pouvez pas toujours vaincre la résistance d’un prospect, alors aidez vous d’un tiers. Demandez lui d’appeler deux de vos clients qui vous ont dit « NON » également au début. Il sera certainement prêt à écouter un de vos clients.

5-Découvrir ce que le prospect achète et quels sont ses critères de décision.

Peut-être n’obtiendrez vous pas cette vente, mais en connaître les raisons c’est déjà se préparer pour une nouvelle vente. 
Bonnes ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

7 clés pour vendre plus

vendredi, 13 novembre, 2009

yeux029Voici les atouts des meilleurs vendeurs que j’ai rencontrés. Maîtriser les et  vous ouvrez la porte vers de nouveaux succès.

Voici les atouts des meilleurs vendeurs que j’ai rencontrés. Maîtriser les et  vous ouvrez la porte vers de nouveaux succès.


1 Qualifier rapidement pour éviter de perdre du temps

Votre bien le plus précieux est le contrôle du temps et la façon de l’employer. L’objectif n’est pas de vendre à tout prix, mais d’identifier rapidement les opportunités les plus rentables et répondant le mieux à votre proposition de valeur.

Une des clés : Développer un profil des clients répondant à vos critères de vente et identifier tous les prospects similaires. Pouvons nous vous assister pour identifier simplement les meilleurs critères de sélection d’un projet ?

2 Créer la motivation

La tentation est grande de vouloir vendre à un prospect plutôt que l’amener à nous  acheter. Les produits Haute Technologie sont complexes, mais  offrent plus de valeur que des produits distribués par des magasins ou des catalogues. Les prospects ne savent pas qu’ils ont besoin de ces produits jusqu’à ce qu’ils découvrent d’abord qu’ils ont un besoin d’amélioration.

Les prospects deviennent motivés pour s’engager avec vous dès lors que vous les aidez à découvrir l’ampleur de leur besoin d’amélioration et que vous pouvez le résoudre mieux que n’importe qui  d’autre.

Une des clés : Comprendre quel besoin d’amélioration vous pouvez résoudre pour votre prospect. Pouvons nous vous aider  à disposer d’une méthode de questionnement efficace ?

3 Vendre en dehors de sa zone de confort.

Un des freins à la vente est de se limiter aux contacts lié à sa zone de compétence (acheteur, Directeur Informatique…)

Le vendeur à haut gain cherche à résoudre les besoins d’amélioration stratégiques de l’entreprise en cherchant le contact à haut niveau.

Une des clés : Etablir un modèle de communication adapté à chaque fonction de l’entreprise. Souhaitez vous entraîner  votre force commerciale à la vente au Top Niveau ?

4 Se faire un ami de la messagerie vocale

Il y a deux manières de développer ses ventes :

–          Augmenter le taux de conversion de projets

–          Augmenter le nombre de contacts. Un des freins à la prise de rendez vous est  à 70% le barrage de la messagerie vocale. Aussi est-il temps de s’en faire un ami.

Une des clés : Préparer 3 à 5 messages d’avantages distinctifs pour chaque appel que vous laisserez chaque quinzaine. L’un d’eux devrait finir par porter ses fruits. Souhaitez vous être accompagné dans la mise en œuvre de cette opération ?

5 Racontez une belle histoire

Nombreuses sont les présentations jugées indigestes par les prospects. Elles ventent généralement la taille de son entreprise, et la qualité de ses produits, et le prospect ne s’y reconnaît pas.

Les grandes présentations suscitent l’imagination du prospect. La meilleure manière d’impliquer l’imagination est de s’appuyer sur une « Success Story » proche du contexte du prospect. Les histoires riches en détails accrochent le prospect le liant ainsi à votre solution.

Une des clés : Étudiez vos 3 meilleurs clients et développez l’histoire détaillée des succès de vos clients, qui chargera ainsi la puissance émotionnelle à vos présentations.  Et si nous racontions ensemble une belle histoire ?

6 Gagner chaque engagement au lieu de tout perdre en demandant  trop

Brûler les étapes du processus de vente pour obtenir une décision de commande, trop tôt, c’est prendre le risque de tout perdre, ou de n’obtenir qu’une part réduite du marché.

Il faut au contraire  apprendre le pouvoir de demander des engagements successifs tout au long de votre cycle de ventes. Ce n’est pas chose facile à faire.

Une des clés : Pratiquer la demande d’engagements simples une fois que quelqu’un a exprimé une attente, un besoin, un malaise. Et si nous revisitions votre cycle de vente ?

7  Prendre plus de plaisir

La vente est amusement quand on attend la commande à l’issue d’une conclusion. Elle peut-être galère quand on la vit sous la pression trimestrielle.

Il faut savoir évacuer cette pression pour se concentrer sur une bonne qualification et faire monter la motivation du prospect.

Une des clés : Se concentrer sur la volonté d’aider le prospect à résoudre ses propres besoins d’amélioration, et la pression de la vente s’en ira d’elle-même. C’est ainsi que les meilleurs commerciaux prennent du plaisir en aidant leurs clients. Et si nous redynamisions votre force commerciale ?

Bonnes Ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog

7 règles pour une lettre de prospection efficace

vendredi, 13 novembre, 2009

Comment surmonter l’angoisse de la feuille blanche ?

Ces sept règles peuvent vous aider à écrire des lettres de prospection plus efficaces.

1 Penser comme le lecteur.

C’est l’aspect le plus important d’une bonne lettre de prospection. S’imaginer en tant que lecteur de votre lettre, et écrire ce que le client veut savoir, et non ce que vous voulez dire. Vous avez une page pour convaincre ; vous la perdez si vous mettez l’emphase sur votre produit. Se rappeler que  le souci principal de votre client est de satisfaire ses besoins et désirs, pas d’augmenter votre compte en banque.

2 Organiser votre lettre.

La lettre de prospection, comme une rédaction, a besoin d’une introduction, un développement et une conclusion.

Dans l’introduction, dire pourquoi vous envoyez cette lettre. Le corps est votre argumentation où vous expliquez pourquoi votre offre est irrésistible. La conclusion fait la synthèse des points clés en invitant votre interlocuteur à l’action.

3 La rendre facile à lire.

Beaucoup de lettres de ventes sont jetées sans être lue simplement parce qu’elles semblent trop compliquées. Utilisez les règles suivantes :

  • Écrire sur un modèle conversationnel, comme si vous parliez normalement ; le ton formel est inutile dans de lettre de prospection.
  • Employer des phrases courtes. Vous avez noté que qu’en écrivant plus simplement, les phrases deviennent plus courtes.
  • Composer des paragraphes courts. Les lecteurs aiment avoir des coupures dans leur lecture ; si elle ne coule pas, le réécrire.
  • Lire et relire votre lettre. Les erreurs de vocabulaire ou de grammaire détruisent la crédibilité et l’efficacité de votre lettre (ce que je ne fais pas sérieusement !).

4 Attirer l’attention de votre lecteur.

Les titres ne sont pas limités à la publicité. Ils peuvent être employés dans les lettres pour attirer l’attention du lecteur sur quelque chose qu’ils veulent savoir.

Vous pouvez également utiliser des titres plus longs – jusqu’à trois ou quatre phrases – pour présenter l’information importante. Dans l’un ou l’autre cas, se mettre à la place du lecteur pour l’inciter à aller plus loin.

5 Obtenir l’attention du lecteur.

Faire participer le lecteur dans la lettre en la rendant interactive.

Écrire sous la forme active; la construction des phrases et paragraphes doit encourager à continuer de lire. Chaque phrase doit être intéressante.

Ne pas hésiter à mettre une note manuscrite ou une flèche dans de couleur différente pour accentuer un point important et  maintenir l’intérêt du lecteur.

Penser également au P.S. » en bas de page pour exciter la curiosité du lecteur.

6 Inciter le lecteur à désirer votre produit ou service.

C’est plus facile en répondant à la question du lecteur,  » qu’est ce que cela peut faire pour moi ? ». Les gens sont bombardés quotidiennement de mèls tentant de vendre quelque chose. Votre lettre doit rester hors de la vente, et offrir des avantages.

Les gens n’achètent pas des produits ou des services, ils achètent des avantages dérivés de leurs achats. Il y a une grande différence entre ces deux approches.

7 Demander à vos lecteurs d’agir.

Les clients potentiels ne sauront pas ce que vous attendez d’eux si vous ne leur dites pas. Si vous voulez qu’ils vous appellent, le dire dans votre lettre et fournir la ligne directe. Si vous attendez une visite à un séminaire, alors leur fournir le plan d’accès…

Il est important d’inviter vos lecteurs à agir tout de suite. Plus il tarde à répondre, moins vous aurez de nouvelles. Si vous lancez  une promotion, indiquer la date limite de validité. Si vous n’avez qu’un nombre limité en stock, indiquer que les quantités sont limitées. Ceci crée le sens de l’urgence pour donner suite à votre lettre.

Bonnes Ventes !

Vous souhaitez en savoir plus ?

Vous souhaitez lire la suite de cet article et découvrir comment conjuguer la quintessence des techniques éprouvées dans une méthode structurée et évolutive pour répondre aux nouvelles exigences du marché ?

Lire la suite

Retour au blog